Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, et Philippe Tabarot Vice-président délégué aux transports, à l’intermodalité et aux déplacements, constatent dans un communiqué diffusé lundi 26 septembre qu’une fois de plus, « les usagers des TER se trouvent pris en otage depuis ce matin. Cette grève des contrôleurs aujourd’hui ne fait d’ailleurs que s’ajouter à la trop longue liste des arrêts de travail subis dans l’année : 85 jours de blocage depuis début 2016. »
La SNCF ne peut se contenter de reste les bras ballants
Aussi, Christian Estrosi, très en colère annonce dans le même communiqué : « La prise en otage des usagers, ça suffit ! Je demande à la Direction de la SNCF, seule responsable du dialogue social au sein de l’entreprise, de m’indiquer les dispositions qu’elle a prises et entend prendre pour assurer le service minimum qui, je veux le lui rappeler, est une exigence. Car la SNCF ne peut pas se contenter de rester les bras ballants face aux conséquences inacceptables pour les usagers de ces conflits à répétition ! Qui pourrait le comprendre ? Nous, nous saurons en tirer toutes les conséquences dans les négociations en cours avec la SNCF. »