L’édito du directeur éditorial de La Provence, Franz-Olivier Giesbert, intitulé « Le chaudron marseillais » n’a pas du tout plu au sénateur Les Républicains Bruno Gilles. Dans un communiqué diffusé samedi 13 juillet, le jour même de la parution du texte contesté, le sénateur s’en prend très durement à FOG : « Ce n’est pas sur la base des élucubrations d’un journaliste méprisant et méprisé, en tourisme à Marseille et qui prétend nous expliquer notre Ville que je construis mon projet mais bien POUR et AVEC les Marseillaises et les Marseillais. »
Dans son éditorial consacré aux municipales de 2020, Franz-Olivier Giesbert, semble soutenir ouvertement Martine Vassal, la présidente du Département et de la Métropole alors même qu’elle n’est pas candidate déclarée. « Martine Vassal a tout pour elle, la compétence, l’aura, l’expérience. Il ne lui manque que le succès (à venir, en 2020) » écrit celui qui est également directeur du magazine Le Point.
Bruno Gilles, qui demande dans son communiqué un droit de réponse au journal La Provence, interpelle à de nombreuses reprises sèchement l’éditorialiste : « Etes-vous journaliste, Monsieur Giesbert ? Etes-vous donc attaché à l’honnêteté dans le traitement de l’information comme le sont tous vos confrères dont vous ternissez l’image aujourd’hui ? Il est inconcevable de s’ingérer ainsi dans le processus démocratique et de porter une telle atteinte à l’éthique et à la déontologie journalistique non seulement en prenant parti pour un positionnement politique mais encore en appelant à voter pour untel ou pour untel. »
[#Droit_De_Reponse] #Fog #BG2020 pic.twitter.com/hUmimd5aDz
— Bruno Gilles (@brunogilles13) 13 juillet 2019
Dans un communiqué, la section SNJ de la rédaction de La Provence a également réagi au texte de Franz-Olivier Giesbert. Non sans ironie le SNJ observe que « FOG a tout pour lui, lui aussi : la notoriété, l’expérience, les talents d’écriture. Il ne lui manque que la capacité à ne pas mélanger les genres. »
L’édito du directeur éditorial de La Provence, Franz-Olivier Giesbert, intitulé « Le chaudron marseillais » n’a pas du tout plu au sénateur Les Républicains Bruno Gilles. Dans un communiqué diffusé samedi 13 juillet, le jour même de la parution du texte contesté, le sénateur s’en prend très durement à FOG : « Ce n’est pas sur la base des élucubrations d’un journaliste méprisant et méprisé, en tourisme à Marseille et qui prétend nous expliquer notre Ville que je construis mon projet mais bien POUR et AVEC les Marseillaises et les Marseillais. »
Dans son éditorial consacré aux municipales de 2020, Franz-Olivier Giesbert, semble soutenir ouvertement Martine Vassal, la présidente du Département et de la Métropole alors même qu’elle n’est pas candidate déclarée. « Martine Vassal a tout pour elle, la compétence, l’aura, l’expérience. Il ne lui manque que le succès (à venir, en 2020) » écrit celui qui est également directeur du magazine Le Point.
Bruno Gilles, qui demande dans son communiqué un droit de réponse au journal La Provence, interpelle à de nombreuses reprises sèchement l’éditorialiste : « Etes-vous journaliste, Monsieur Giesbert ? Etes-vous donc attaché à l’honnêteté dans le traitement de l’information comme le sont tous vos confrères dont vous ternissez l’image aujourd’hui ? Il est inconcevable de s’ingérer ainsi dans le processus démocratique et de porter une telle atteinte à l’éthique et à la déontologie journalistique non seulement en prenant parti pour un positionnement politique mais encore en appelant à voter pour untel ou pour untel. »
[#Droit_De_Reponse] #Fog #BG2020 pic.twitter.com/hUmimd5aDz
— Bruno Gilles (@brunogilles13) 13 juillet 2019
Dans un communiqué, la section SNJ de la rédaction de La Provence a également réagi au texte de Franz-Olivier Giesbert. Non sans ironie le SNJ observe que « FOG a tout pour lui, lui aussi : la notoriété, l’expérience, les talents d’écriture. Il ne lui manque que la capacité à ne pas mélanger les genres. »