L’Union hydrogène renouvelable (UNHYR) est née en juillet avec six membres fondateurs : CVE (Marseille), Valorem (Bègles), Valeco (Montpellier), Lhyfe (Nantes), Arhyze (Paris) et BayWa R.e (filiale française du groupe allemand, bureaux principaux à Paris et Bordeaux).
L’objectif est de soutenir l’hydrogène renouvelable et local, vecteur de décarbonation, de continuité territoriale et rapidement déployable. Le réseau s’inscrit dans le sillage des priorités affichées par le gouvernement : développer une puissance de 6,5 GW d’électrolyse pour produire de l’hydrogène à horizon 2030.
L’association estime que cette ambition « pourrait représenter un potentiel de création d’emplois de 100 000 emplois et une création de valeur pouvant atteindre six milliards d’euros répartie sur les territoires où seront installés les acteurs de la chaine de valeur hydrogène à horizon 2030. »
Mais pour y arriver, l’Union hydrogène renouvelable appelle à accélérer et demande du soutien. « La puissance installée d’électrolyse n’est que de 20 MW en France.L’hydrogène renouvelable et local, vecteur de décarbonation, de continuité territoriale et rapidement déployable doit donc être soutenu.»
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Le manifeste “Pour une Stratégie nationale hydrogène qui tient ses promesses sur la réindustrialisation” de France Hydrogène