Ce sera la troisième boutique en propre pour cette jeune marque propulsée depuis Toulouse. Elle ouvrira à Paris dans le quartier Opéra en novembre prochain, après l’ouverture des premiers magasins, en avril à Bordeaux et Toulouse en mai. Pourtant Gresley Meanwear n’a que 6 mois d’existence.
« Notre stratégie marketing s’appuie sur le développement de notre univers propre, c’est la meilleure option pour vendre nos produits », explique Nadir Khiatine qui positionne ses produits pour les CSP+ plus proche d’une référence comme Hugo Boss que de Jules. A 40 ans, l’entrepreneur autodidacte a décidé de lancer sa marque après de nombreuses expériences dans l’import-export et, dernière en date, en étant franchisé pour la marque Mario Dessuti. Un rêve d’enfant, « l’aboutissement de toute une vie », témoigne celui dont le père et le grand-père étaient tailleurs. « Et l’arrière-arrière-grand père aussi », ajoute t-il.
En résulte une communication basée sur le respect de la tradition. « Toutes nos matières premières viennent d’Italie, les produits sont fabriqués par une usine d’Europe de l’Est aux méthodes semi-traditionnelles reconnues ou au Maroc », déroule l’expert de la filière.
Selon le concepteur, les premiers retours sont positifs. Il souhaite ouvrir un 4e magasin à Lyon d’ici début 2017. A terme, il aimerait créer un à deux magasins par an.
Pour toute la communication, de la création de la plateforme de marque, l’univers, tous les visuels, le site, jusqu’à la plus petite étiquette en magasin, c’est l’agence Verywell qui est à la baguette. « Gresley, c’est en référence à un village anglais. L’esthétique et l’élégance anglaise, c’est ce que nous avons voulu présenter dans l’univers de la marque », explique Nadir Kiathine. La campagne social média vient d’être lancée avec une page facebook fréquemment alimentée (facebook). www.gresley.fr
Ce sera la troisième boutique en propre pour cette jeune marque propulsée depuis Toulouse. Elle ouvrira à Paris dans le quartier Opéra en novembre prochain, après l’ouverture des premiers magasins, en avril à Bordeaux et Toulouse en mai. Pourtant Gresley Meanwear n’a que 6 mois d’existence.
« Notre stratégie marketing s’appuie sur le développement de notre univers propre, c’est la meilleure option pour vendre nos produits », explique Nadir Khiatine qui positionne ses produits pour les CSP+ plus proche d’une référence comme Hugo Boss que de Jules. A 40 ans, l’entrepreneur autodidacte a décidé de lancer sa marque après de nombreuses expériences dans l’import-export et, dernière en date, en étant franchisé pour la marque Mario Dessuti. Un rêve d’enfant, « l’aboutissement de toute une vie », témoigne celui dont le père et le grand-père étaient tailleurs. « Et l’arrière-arrière-grand père aussi », ajoute t-il.
En résulte une communication basée sur le respect de la tradition. « Toutes nos matières premières viennent d’Italie, les produits sont fabriqués par une usine d’Europe de l’Est aux méthodes semi-traditionnelles reconnues ou au Maroc », déroule l’expert de la filière.
Selon le concepteur, les premiers retours sont positifs. Il souhaite ouvrir un 4e magasin à Lyon d’ici début 2017. A terme, il aimerait créer un à deux magasins par an.
Pour toute la communication, de la création de la plateforme de marque, l’univers, tous les visuels, le site, jusqu’à la plus petite étiquette en magasin, c’est l’agence Verywell qui est à la baguette. « Gresley, c’est en référence à un village anglais. L’esthétique et l’élégance anglaise, c’est ce que nous avons voulu présenter dans l’univers de la marque », explique Nadir Kiathine. La campagne social média vient d’être lancée avec une page facebook fréquemment alimentée (facebook). www.gresley.fr