« En terrasse, on voulait arrêter de boire de l’eau sucrée et gazéifiée ou de l’alcool. On voulait une boisson plaisir et bonne pour la santé, on avait juste envie d’un bon kombucha », se souvient Nina Lausecker, fondatrice avec Sebastian Landaeus de l’entreprise. C’est donc l’envie de « faire connaître cette alternative aux Français », qui a poussé le couple à passer d’une fabrication pour sa consommation personnelle à une micro-brasserie locale.
Ah oui au fait, vous ne connaissez certainement pas encore le Kombucha. Fermez les yeux et imaginez une boisson naturellement gazéifiée et acidulée. Un breuvage obtenu grâce à une culture symbiotique de levures et de bactéries dans du thé sucré. Au-delà de son goût et de sa caractéristique désaltérante, d’aucuns accordent à cette boisson des vertus médicales, notamment pour son effet sur la flore intestinale un peu à la manière de la pub Bio de Danone en 1999 « il aide mon corps à se renouveler à l’intérieur et ça se voit à l’extérieur ». Sauf que là, c’est vraiment bio. « Bio et commerce équitable Max Havelarr ou Ecocert, pour la qualité du produit et s’assurer que des enfants ne travaillent pas dans les plantations », déballe Nina. Bref, la totale éthique. N’en jetez plus. Si, un dernier pour la route : l’effet anti-oxydant du thé.
Des caractéristiques produit en accord avec les consommateurs visés. « On cible les distributeurs bio spécialisés, Biocoop, Bio c’est bon, Naturalia… On propose des bouteilles d’1 litre (entre 5,50€ et 6,50€). On a aussi des bouteilles de 25cl pour les restaurants et des salons de thés bio dans la tendance manger sainement et végétarien (entre 4,50 et 5,50€) », continue Nina. « On s’adresse aussi aux locavores qui veulent découvrir les productions du coin ». En Amérique du Nord, « le Kombucha est devenu une vraie alternative au soda », sait Nina.
Pour l’instant, l’entreprise produit 2500 litres par mois. La distribution naissante est assurée dans 20 points de vente : 10 magasins et 10 restaurants (voir la carte des points de vente). Au niveau des évolutions produits, Nina imagine, en plus des classiques nature ou « carotte gingembre », une recette par saison avec un sourcing bio et local évidemment via Agri Bio. « Kombucha myrtille l’été, Kombucha pomme poire, l’hiver…», lance à la cantonade Nina.
Dans l’avenir Nina ne rêve pas d’industrialisation et d’exportation. Déjà, exporter ça fait du C02. Toc. Et dans sa vision, mieux vaut plusieurs petites brasseries qu’une grosse usine. D’autant plus que certaines productions de Kombucha plus industrielles sont pasteurisées et suppriment donc tout le bienfait des petites bactéries qui font du bien à l’intérieur. Certains producteurs de Kombucha low-cost ajoutent même du sucre, « ça n’a aucun intérêt », insiste t-elle.
L’agence Canopée (Arles – Lionel et Jérôme Jarmasson) a accompagné l’entreprise au niveau marketing, pour identifier les valeurs à mettre en avant, et au niveau création. L’agence a assuré la création de l’identité visuelle, la charte graphique, le packaging, le site internet. Nina s’occupe elle-même des réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram. Pour la petite histoire, l’annonceur et l’agence se sont rencontrés lors d’une remise de trophée RSE de la région Paca en 2014. Non, le hasard n’existe pas.
« En terrasse, on voulait arrêter de boire de l’eau sucrée et gazéifiée ou de l’alcool. On voulait une boisson plaisir et bonne pour la santé, on avait juste envie d’un bon kombucha », se souvient Nina Lausecker, fondatrice avec Sebastian Landaeus de l’entreprise. C’est donc l’envie de « faire connaître cette alternative aux Français », qui a poussé le couple à passer d’une fabrication pour sa consommation personnelle à une micro-brasserie locale.
Ah oui au fait, vous ne connaissez certainement pas encore le Kombucha. Fermez les yeux et imaginez une boisson naturellement gazéifiée et acidulée. Un breuvage obtenu grâce à une culture symbiotique de levures et de bactéries dans du thé sucré. Au-delà de son goût et de sa caractéristique désaltérante, d’aucuns accordent à cette boisson des vertus médicales, notamment pour son effet sur la flore intestinale un peu à la manière de la pub Bio de Danone en 1999 « il aide mon corps à se renouveler à l’intérieur et ça se voit à l’extérieur ». Sauf que là, c’est vraiment bio. « Bio et commerce équitable Max Havelarr ou Ecocert, pour la qualité du produit et s’assurer que des enfants ne travaillent pas dans les plantations », déballe Nina. Bref, la totale éthique. N’en jetez plus. Si, un dernier pour la route : l’effet anti-oxydant du thé.
Des caractéristiques produit en accord avec les consommateurs visés. « On cible les distributeurs bio spécialisés, Biocoop, Bio c’est bon, Naturalia… On propose des bouteilles d’1 litre (entre 5,50€ et 6,50€). On a aussi des bouteilles de 25cl pour les restaurants et des salons de thés bio dans la tendance manger sainement et végétarien (entre 4,50 et 5,50€) », continue Nina. « On s’adresse aussi aux locavores qui veulent découvrir les productions du coin ». En Amérique du Nord, « le Kombucha est devenu une vraie alternative au soda », sait Nina.
Pour l’instant, l’entreprise produit 2500 litres par mois. La distribution naissante est assurée dans 20 points de vente : 10 magasins et 10 restaurants (voir la carte des points de vente). Au niveau des évolutions produits, Nina imagine, en plus des classiques nature ou « carotte gingembre », une recette par saison avec un sourcing bio et local évidemment via Agri Bio. « Kombucha myrtille l’été, Kombucha pomme poire, l’hiver…», lance à la cantonade Nina.
Dans l’avenir Nina ne rêve pas d’industrialisation et d’exportation. Déjà, exporter ça fait du C02. Toc. Et dans sa vision, mieux vaut plusieurs petites brasseries qu’une grosse usine. D’autant plus que certaines productions de Kombucha plus industrielles sont pasteurisées et suppriment donc tout le bienfait des petites bactéries qui font du bien à l’intérieur. Certains producteurs de Kombucha low-cost ajoutent même du sucre, « ça n’a aucun intérêt », insiste t-elle.
L’agence Canopée (Arles – Lionel et Jérôme Jarmasson) a accompagné l’entreprise au niveau marketing, pour identifier les valeurs à mettre en avant, et au niveau création. L’agence a assuré la création de l’identité visuelle, la charte graphique, le packaging, le site internet. Nina s’occupe elle-même des réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram. Pour la petite histoire, l’annonceur et l’agence se sont rencontrés lors d’une remise de trophée RSE de la région Paca en 2014. Non, le hasard n’existe pas.