Monica Michel s’était jusqu’à présent toujours tenue à l’écart de la politique et se considère comme une parlementaire atypique. La députée de la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône conçoit son mandat comme un « engagement citoyen » qu’elle effectue avec « passion et sérieux ». Elle travaille sur un large périmètre, la 16e circonscription regroupant 11 communes parmi lesquelles Arles, Miramas, Tarascon, Saint-Martin de Crau, les Saintes-Maries, Saint-Etienne du Grès… une partie d’Istres. Un territoire auparavant occupait par l’ancien président du Conseil régional, le socialiste Michel Vauzelle. Arlésienne depuis 31 ans, elle été élue sous l’étiquette En Marche, au second tour des élections législatives 2017, avec 51,17% des suffrages, battant Valarie Laupies (Front national).
Sa carrière, Monica Michel l’a bâtie en suivant les cours du soir. Cette mère de trois enfants, a forgé son expérience dans l’industrie maritime et portuaire. Elle a occupé la fonction de directrice commerciale du Grand port maritime de Marseille (GPMM) et pris part notamment à l’essor des croisières et au lancement du terminal de FOS 2XL. Elle a quitté son poste pour se consacrer pleinement à sa nouvelle mission. Elle siège au sein de différentes commissions, dont celle des affaires étrangères et de l’accès aux soins et déserts médicaux. Elle est également vice-présidente du groupe d’études sur l’économie maritime.
La parlementaire porte une attention particulière sur la future réforme territoriale, se disant « favorable », à une expérimentation d’une nouvelle collectivité pour le pays d’Arles, hors de la Métropole Aix Marseille et du Département des Bouches-du-Rhône. La tête dans les dossiers du moment, la députée ne songe pas encore aux municipales, mais sait les menaces qui pèsent sur le scrutin de 2020. Dans cette perspective, alors que l’organisation départementale LREM est critiquée, elle affirme avoir toute confiance en Christophe Castaner pour mettre en place « ce qu’il faut » en vue notamment des prochaines échéances électorales. Avec son bras droit et suppléant, Jérôme Santilli (également conseiller municipal d’opposition de Saint-Martin-de-Crau), ils affirment que de leur côté, qu’aucun problème n’est à pointer, « d’autant que sur notre territoire l’organisation fonctionne bien ».
Pour ce dernier « Questions de politique », avant la trêve estivale, la députée revient également sur le grand plan Rhône et la signature du contrat « Action cœur de Ville » pour la ville d’Arles. « Un moment historique ». Après une année à l’Assemblée nationale, Monica Michel entend poursuivre sa marche suivant le credo qu’elle s’était donnée : « la confiance ne se décrète pas. Elle se mérite par le travail, par les actes et les réalisations ».
Monica Michel s’était jusqu’à présent toujours tenue à l’écart de la politique et se considère comme une parlementaire atypique. La députée de la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône conçoit son mandat comme un « engagement citoyen » qu’elle effectue avec « passion et sérieux ». Elle travaille sur un large périmètre, la 16e circonscription regroupant 11 communes parmi lesquelles Arles, Miramas, Tarascon, Saint-Martin de Crau, les Saintes-Maries, Saint-Etienne du Grès… une partie d’Istres. Un territoire auparavant occupait par l’ancien président du Conseil régional, le socialiste Michel Vauzelle. Arlésienne depuis 31 ans, elle été élue sous l’étiquette En Marche, au second tour des élections législatives 2017, avec 51,17% des suffrages, battant Valarie Laupies (Front national).
Sa carrière, Monica Michel l’a bâtie en suivant les cours du soir. Cette mère de trois enfants, a forgé son expérience dans l’industrie maritime et portuaire. Elle a occupé la fonction de directrice commerciale du Grand port maritime de Marseille (GPMM) et pris part notamment à l’essor des croisières et au lancement du terminal de FOS 2XL. Elle a quitté son poste pour se consacrer pleinement à sa nouvelle mission. Elle siège au sein de différentes commissions, dont celle des affaires étrangères et de l’accès aux soins et déserts médicaux. Elle est également vice-présidente du groupe d’études sur l’économie maritime.
La parlementaire porte une attention particulière sur la future réforme territoriale, se disant « favorable », à une expérimentation d’une nouvelle collectivité pour le pays d’Arles, hors de la Métropole Aix Marseille et du Département des Bouches-du-Rhône. La tête dans les dossiers du moment, la députée ne songe pas encore aux municipales, mais sait les menaces qui pèsent sur le scrutin de 2020. Dans cette perspective, alors que l’organisation départementale LREM est critiquée, elle affirme avoir toute confiance en Christophe Castaner pour mettre en place « ce qu’il faut » en vue notamment des prochaines échéances électorales. Avec son bras droit et suppléant, Jérôme Santilli (également conseiller municipal d’opposition de Saint-Martin-de-Crau), ils affirment que de leur côté, qu’aucun problème n’est à pointer, « d’autant que sur notre territoire l’organisation fonctionne bien ».
Pour ce dernier « Questions de politique », avant la trêve estivale, la députée revient également sur le grand plan Rhône et la signature du contrat « Action cœur de Ville » pour la ville d’Arles. « Un moment historique ». Après une année à l’Assemblée nationale, Monica Michel entend poursuivre sa marche suivant le credo qu’elle s’était donnée : « la confiance ne se décrète pas. Elle se mérite par le travail, par les actes et les réalisations ».