Il persiste et signe. Ce n’est pas la réforme Peillon qui est en cause mais bien la désorganisation, voire l’incompétence, de la Ville de Marseille qui empêche la mise en place satisfaisante des activités périscolaires dans la cité phocéenne.
Le socialiste Stéphane Mari, qui ne veut pas faire de « procès d’intention » craint que la défection de l’association lyonnaise Centre Départemental de Soutien Scolaire (CDSS) annonce d’autres déconvenues. Le responsable socialiste qui s’apprête à vivre un conseil municipal particulièrement agité lundi 14 septembre, souligne même que nombre d’associations impliquées dans les Temps d’activités périscolaires l’année dernière n’ont toujours pas été réglées par la ville de Marseille. De quoi décourager de nombreuses vocations… N’en jetez plus !
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