Ils avaient promis le gel des impôts locaux avant les élections municipales de mars 2014. Les maires des grands villes ont tous tenu parole, souligne le quotidien économique Les Echos, vendredi 19 septembre. Tous sauf deux exceptions : Argenteuil et Marseille.
« La communauté urbaine de Marseille, elle, alourdit une année de plus le taux de la taxe foncière de plus de 20 %. Le poids de la cité phocéenne dans la moyenne nationale est tel qu’en l’excluant la progression nationale des taux des taxes locales est nulle », précise le journal.