Chacune des dynamiques progressistes a en elle une partie de la solution. Mais aucune ne peut gagner seule. La « gauche » n’est pas une vertu en soi, la « droite » n’est pas synonyme de clientélisme tout comme la « société civile » ne garantit pas l’indépendance et la probité.
Ce constat invite au dialogue, à la bienveillance et à l’humilité.
Marseille mérite que tous ceux qui veulent la changer se rassemblent autour d’un projet résolument progressiste pour vaincre les inerties et renoncements qui y sont profondément installés.
Alors retrouvons-nous, au-delà de nos étiquettes, de nos biais idéologiques et de nos partis, dans un mouvement qui dépasse ce que nous sommes, pour faire gagner Marseille et les Marseillais.
Pour que Marseille soit dirigée demain par des “faiseurs” : des personnes déterminées, courageuses et compétentes, engagées à faire, à faire encore et encore, et à rendre compte aux citoyens, leurs « employeurs ». Des personnes qui n’auront pas de droits, que des devoirs. Nous aurons 6 ans, soit 2190 jours pour agir : chaque jour comptera pour faire la différence. Et les résultats obtenus dans la vie quotidienne des habitants seront au final les seuls critères pour juger de leur réussite.
Parce que la situation l’exige, parce que plus que tout j’aime Marseille et parce nous le devons à tous ses habitants.
Saïd Ahamada
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