Pour « Questions de politique », la conseillère municipale de la Ville d’Aix et sénatrice (UDI) évoque dans cet entretien enregistré le 18 mai, dans notre studio, son ambition politique, notamment en vue des municipales de 2020, les alliances possibles, son objectif pour sa ville, son avis sur la Métropole, la fusion avec le Département, et revient sur le procès de Maryse Joissains.
Difficile de se faire un prénom dans la très célèbre famille Joissains. La politique, « je suis née dedans », sourit-elle. Juriste criminologue de formation, Sophie Joissains fait ses études à la fac de droit d’Aix, puis travaille dans une société de production cinématographique, avant de suivre le chemin tracé par ses parents et entrer en politique, « par amour pour la chose publique », en tant que directrice de cabinet de sa mère puis adjointe à la Politique de la Ville et à la Culture, charge qu’elle abandonne pour éviter un cumul des mandats. Sénatrice des Bouches-du-Rhône en 2008, sur la liste de Jean-Claude Gaudin, elle devient à 38 ans l’une des benjamines du Sénat.
Elle se voit succéder à son père, maire d’Aix entre 1978 et 1983 et à sa mère, à l’Hôtel de Ville depuis 17 ans : « Devenir maire d’Aix, ce serait magnifique. J’y pense et j’aimerais beaucoup. » Fière des projets réalisés sur le territoire, elle espère continuer sur la même lancée : « La ville a été transformée, peu d’Aixois s’en plaignent. » Et à ceux qui s’opposent à la perpétuation de la dynastie Joissains elle répond « Chacun ses chances ! » Concernant la peine requise à l’encontre de sa mère, elle en dénonce « la violence » : « On ne reproche à Maryse Joissains ni enrichissement personnel, ni emploi fictif. »
Pour « Questions de politique », la conseillère municipale de la Ville d’Aix et sénatrice (UDI) évoque dans cet entretien enregistré le 18 mai, dans notre studio, son ambition politique, notamment en vue des municipales de 2020, les alliances possibles, son objectif pour sa ville, son avis sur la Métropole, la fusion avec le Département, et revient sur le procès de Maryse Joissains.
Difficile de se faire un prénom dans la très célèbre famille Joissains. La politique, « je suis née dedans », sourit-elle. Juriste criminologue de formation, Sophie Joissains fait ses études à la fac de droit d’Aix, puis travaille dans une société de production cinématographique, avant de suivre le chemin tracé par ses parents et entrer en politique, « par amour pour la chose publique », en tant que directrice de cabinet de sa mère puis adjointe à la Politique de la Ville et à la Culture, charge qu’elle abandonne pour éviter un cumul des mandats. Sénatrice des Bouches-du-Rhône en 2008, sur la liste de Jean-Claude Gaudin, elle devient à 38 ans l’une des benjamines du Sénat.
Elle se voit succéder à son père, maire d’Aix entre 1978 et 1983 et à sa mère, à l’Hôtel de Ville depuis 17 ans : « Devenir maire d’Aix, ce serait magnifique. J’y pense et j’aimerais beaucoup. » Fière des projets réalisés sur le territoire, elle espère continuer sur la même lancée : « La ville a été transformée, peu d’Aixois s’en plaignent. » Et à ceux qui s’opposent à la perpétuation de la dynastie Joissains elle répond « Chacun ses chances ! » Concernant la peine requise à l’encontre de sa mère, elle en dénonce « la violence » : « On ne reproche à Maryse Joissains ni enrichissement personnel, ni emploi fictif. »