À l’occasion du lancement du Digital Art Club, un club de mécènes ayant pour vocation de soutenir des artistes numériques contemporains, Com & Médias Sud a interviewé son fondateur, Alexandre Contencin, également président de l’agence de communication marseillaise Marsatwork.
Alexandre Contencin: Leur participation au club leur permet de prendre le temps, en marge de leur travail quotidien, de répondre au questionnement sur l’impact du numérique sur la société. De nombreuses entreprises sont quasiment exclusivement dépendantes du digital. Or le numérique est très sournois, il change la relation au monde, et on ne prend pas toujours le temps d’y réfléchir. Le club permet de ne pas se laisser contraindre par ce qu’est le numérique, en laissant l’artiste le questionner en utilisant ses codes (vidéo, image, software, hardware, etc).Com&Médias Sud: Quel est l’impact en terme d’image et de RSE pour les entreprises membres?
Alexandre Contencin: Nous souhaitons que le club puisse nourrir ce que l’on appelle la raison d’être de l’entreprise. À Marsatwork nous travaillons beaucoup avec nos clients sur l’expression de cette raison d’être, et souvent nous nous heurtons à la question de la preuve: comment prouver que l’entreprise va au bout de son engagement affiché? La participation au club permet de montrer que l’entreprise est sensible à ces questions.














