En partenariat avec la DFCG Provence, le besoin en fonds de roulement, le BFR, un thème de saison est abordé en fin d’année justement pour sortir de la logique d’urgence des actions coups de poing de fin de période et pour mettre au point des pratiques durablement efficaces.
Depuis toujours, pour les entrepreneurs comme pour les directions financières, “Cash is king”, a fortiori quand les taux montent et que le coût de financement s’alourdit comme aujourd’hui.
Pourquoi optimiser continuellement son besoin en fonds de roulement (BFR) ? Pour rassurer les financeurs et les partenaires, financer la croissance, préparer une opérations d’acquisition ou cession. Comment ? En faisant sortir la préoccupation BFR du bureau du directeur financier pour la diffuser dans les équipes, en prenant en compte la dimension trésorerie dans les décisions quotidiennes, tout en évitant de ralentir les chaînes opérationnelles, voire d’en arriver à suspendre des paiements avant chaque clôture, et en homogénéisant les préoccupations de chaque site de l’entreprise.
Très concrètement, des méthodes de calculs, de suivi de paramètres, de gestion de projet et de conduite de changement, des systèmes d’information, des indicateurs clés de performance et des exemples précis ont été présentés aux professionnels présents à ce rendez-vous du club finance EY à Marseille.