Le mercredi 15 mai dernier, Orange, dans le cadre de son partenariat avec Paris 2024, a lancé “Good Connections”, accueillant plus de 2 000 jeunes dans sept villes françaises pour les sensibiliser aux risques du monde digital, notamment au cyber-harcèlement. À Marseille, 300 jeunes âgés de 9 à 17 ans, venant de clubs amateurs de football des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse, ont été conviés sur la pelouse de l’Orange Vélodrome. Pour cette occasion spéciale, des personnalités comme Jean-Pierre Papin, Damien Roger (champion de France de volley et participant aux Jeux paralympiques 2024), Sylvanie Logello et Oriane Oliveira (joueuses de volley assis participant aux JO 2024), ainsi que le youtubeur marseillais Anis Ayari, fondateur de la chaîne “Defend Intelligence“, étaient présents. L’après-midi était rythmé par trois ateliers, couronnés par le dévoilement par les enfants d’un tifo géant de 600 mètres carrés.
Le coup de sifflet retentit, et c’est le départ ! Sur la pelouse du Vélodrome de Marseille, 300 jeunes se précipitent pour participer aux différents ateliers organisés par Orange. Pendant tout un après-midi, l’enceinte sportive devient le théâtre de jeux et de réflexions, centrés sur le cyberharcèlement et le handisport. Pour Nicolas Drouillet, directeur d’Orange Grand Sud-Est, « le sport incarne plusieurs valeurs : le travail d’équipe, le sens du collectif, le courage, l’engagement et le soutien, des valeurs que Orange soutient et souhaite transmettre ».
Les jeunes participants viennent de divers clubs du département, tels que le Sporting Club d’Aix-en-Provence, le Football Club de Carpentras, le Football Club Ventoux Sud FC Mazan Bédouin, le FC Côte Bleue Marignane Gignac, Les Minots du Vasio (84), le Sporting Courthézon Jonquières (84), le CA Plan de Cuques, le Sporting Club Frais Vallon, Le CAM Phénix de La Valentine, le SO Velleronnais (84), le Pays Voironnais Volley (38), l’ITED Sessad Les Bastides ainsi que cinq jeunes de l’association marseillaise ARI (Association pour l’Intégration des Personnes en Situation de Handicap ou en difficulté).
Comprendre et agir, grâce au sport
Sur le terrain de jeu, Jade, Léa et Amy, trois adolescentes de l’équipe de football de Marignane, partagent leurs impressions sur l’atelier de sensibilisation au cyberharcèlement. Pendant une session de jeu, qui ressemblait à une variante du ballon prisonnier, chacune était assignée à un rôle : l’harceleur, l’harcelé ou le témoin. « Être harceleur, c’était simple ; on devait simplement tirer le ballon sur les autres. Le plus difficile était de le recevoir quand on se retrouvait dans la peau de la personne harcelée », commente Jade. « Dans la vie quotidienne, des gens subissent des coups et des insultes gratuitement, et personne ne réagit lorsque cela leur arrive », conclut Léa. Le jeu a ensuite laissé la place à un quiz pour sensibiliser aux bons réflexes. « On essaie d’apprendre aux jeunes à se mettre à la place des autres et à comprendre le rôle essentiel que chacun joue, à briser le tabou », explique Fred, bénévole chez Orange pour la journée. Nelly, mère accompagnatrice, souligne l’intérêt qu’elle porte à cet atelier auquel participe son fils. « Le cyber harcèlement me dépasse, et je pense que débattre de ce sujet à travers le sport a plus d’impact sur les enfants ».
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