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[Énergie] Pierre de Froidefond (CVE) :  « L’indépendance de l’Europe est vitale »

par Christian Apothéloz
10 mars 2025 at 08h14 (Updated on 9 mars 2025 at 18h40)
Les équipes de CVE (Crédit CVE)

Les équipes de CVE (Crédit CVE)

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L’opérateur énergétique CVE (pour Changeons notre vision de l’énergie) basé à la Joliette à Marseille a frappé très fort avec des levées de fonds en capital ces deux dernières années de 200 millions d’euros et en crédit de 200 millions d’euros. La croissance de l’entreprise et son internationalisation s’accélèrent avec le choix d’être concomitamment sur trois énergies : le solaire, la méthanisation et l’hydrogène. Pour comprendre le développement et la stratégie de ce producteur d’énergies renouvelables, de cette ETI de 500 salariés, entretien avec un de ses fondateurs et co-président Pierre de Froidefond.

CVE est entreprise à mission. Comment définissez-vous votre place dans l’écosystème énergétique ?

Pierre de Froidefond : Notre projet répond à un besoin de la société, à un besoin économique, à un besoin de décarbonation et de sécurisation de nos approvisionnements en électricité et en gaz.

Dans le bouleversement géopolitique mondial, quelle est la meilleure réponse ? Si l’on veut adopter une trajectoire zéro carbone à l’horizon 2050, nous devons décliner, à travers la stratégie nationale bas-carbone, une programmation pluriannuelle de l’énergie. Nous avons besoin des énergies renouvelables et nous n’opposons pas le renouvelable et le nucléaire : nous avons besoin des deux ! Il nous faut plus d’électricité en France. Les nouveaux actifs nucléaires mettront une quinzaine d’années à se construire. Dans l’intervalle, il nous faudra électrifier massivement le transport. Le solaire, c’est la seule électricité qui peut réagir vite.

« Je suis ici incognito » disait Philemon Siclone dans Tintin. La façade haussmannienne de la Place de la Joliette ne laisse pas deviner la ruche qui fait travailler 500 salariés et qui rayonne en France, au Chili, aux États-Unis, en Afrique du Sud et en Espagne. © Apothéloz

Notre stratégie est de travailler trois énergies, avec 500 personnes au service de notre raison d’être : décarboner l’économie.

Vous atteignez un rythme annuel d’installations considérable. Avec qui travaillez-vous pour les travaux d’installation des panneaux solaires ?

P.d.F. : Nous sommes maîtres de l’ingénierie du projet, l’ingénierie électrique. Ce que l’on appelle le calepinage (1): quels modules ? quels onduleurs ? etc. Notre bureau d’études interne fait toute l’ingénierie de détail. Nos ingénieurs, définissent des lots dont le génie civil, l’approvisionnement des modules, les onduleurs, et notre service achat organise des consultations et nous choisissons les entreprises.

Pour installer 200 mégawatts, c’est un travail colossal…

P.d.F. : Ils sont trois au service achat, mais nous regroupons nos marchés. Nous n’avons par exemple qu’un ou deux fournisseurs de modules. Nous créons un lot génie civil, un lot approvisionnement, un lot onduleur… Nous aimons faire travailler des locaux pour le génie civil. Pour l’électricité nous signons des contrats nationaux qui permettent, comme avec Bouygues Énergies Services, d’avoir des garanties et des prix intéressants. Puis, nous avons des ingénieurs construction qui assurent la maîtrise d’œuvre, ils coordonnent les différents opérateurs.

Comment se répartit le budget d’une installation énergétique ?

P.d.F. : Sur une centrale, le gros du budget, c’est le génie civil. Les coûts de développement (identification des terrains, négociation, sécurisation juridique, concertation… ndlr) sont importants. Les modules représentent aujourd’hui 15 % du prix de la centrale, 15 à 20 % pas plus. Quand nous construisons une centrale 70 % revient à l’économie locale ou nationale.

Pour la méthanisation, c’est un peu plus complexe, ce sont des usines avec de l’électromécanique, avec des flux logistiques. Mais le décollage est difficile en France alors que notre pays consomme à peu près 400 térawattheures de gaz. Aujourd’hui, la méthanisation couvre à peu près 3 à 4 % de cette consommation. La marge de progression est importante ; notre ambition est de peser entre 7 et 10 % de la production de biométhane d’ici 2030.

Pierre de Froidefond – CVE Group – Marseille

CVE se développe à l’international dans des pays aussi différents que les USA, le Chili, l’Espagne. Qu’est-ce qui guide ces orientations ?

P.d.F. : Nous avons défini des critères dans une vision stratégique. À la base il y avait des critères d’ensoleillement, de prix de l’énergie, d’indice du Doing Business, l’indice de stabilité économique politique du pays, le niveau de corruption, la sécurité des biens et des personnes (l’indice Doing Business était édité par la Banque mondiale jusqu’en 2020, il mesurait selon des critères précis la réglementation et la sécurité économique de 190 pays, ndlr). Nous avons réalisé cette étude sous le pilotage du directeur du développement international. Nous avons visité une vingtaine de pays, j’en ai visité une douzaine.

C’est ce qui nous a amenés en premier au Chili où le cadre réglementaire, l’ensoleillement, le prix de l’énergie permettent de développer nos projets.

CVE au Chili, nous avons 60 personnes et 280 mégawatts de projets

Au début, nous lançons le développement à partir de la France et dès que nous avons un portefeuille de projets significatifs, nous installons un patron de pays qui recrute des équipes locales avec un plan d’affaires à 5 cinq ans et une montée en puissance progressive. Au Chili, nous avons 60 personnes et 280 mégawatts de projets, c’est conséquent. Les US, c’était l’étape d’après. J’ai des confrères qui avaient investi en Asie, ces dernières années, ils quittent la Chine pour aller s’installer aux US parce qu’il y a une attractivité forte. Comme les USA se replient et affirment “Vous voulez faire du business avec nous, il faut être sur place”, nous sommes sur place et nous avons 45 personnes basées dans l’État de New York, le Massachusetts, le Michigan, dans le Nord-Est. Notre siège est à New York. Nous avons un parc d’une vingtaine de centrales solaires au sol avec un modèle de “Community Solar” qui ressemble un peu à ce qu’on appelle l’autoconsommation collective en France.

Nous avons essayé de nous implanter au Sénégal, ça n’a pas fonctionné pour des raisons de flottement du cadre réglementaire, nous nous sommes repliés. En revanche, nous nous sommes installés en Afrique du Sud avec une équipe de 10 personnes. Nous ciblons uniquement un segment, celui des entreprises. L’approvisionnement en électricité est déficient, les chaînes d’approvisionnement doivent être arrêtées si le réseau est défaillant et un générateur diesel prend le relais, mais après une interruption de production. Nous installons donc des centrales solaires sur les toitures, les parkings ou au sol à côté de l’usine et 100 % de l’électricité qu’on produit avec des batteries alimente l’usine, directement. C’est ce qu’on appelle de l’autoconsommation.

Nous nous développons tout récemment en Espagne, avec une petite équipe de six personnes et une vingtaine de projets dans le nord de l’Espagne.

Comment financez-vous cette croissance ?

P.d.F. : Il faut distinguer, deux types de financement. Le financement structuré, qui finance les infrastructures, les projets et le financement corporate.

Pour les infrastructures, nous fonctionnons comme lorsque Vinci construit une autoroute ou un nouvel aéroport, du crédit à partir d’un business model, d’une projection des cash-flows sur des durées longues : 20 années dans le solaire.

Sur une centrale solaire de 10 mégawatts, qui coûte 10 millions € nous ne mettrons pas 10 millions en equity, mais peut-être un million€. Le reste sera financé par de la dette bancaire, dite senior, puisqu’elle vient en premier dans le rang des remboursements et ensuite de la dette junior, qui vient juste après. Troisième couche, le financement participatif qui permet d’engager les citoyens dans le financement du projet.

Les 202 millions que vous avez annoncé dans Gomet’ sont du financement structuré pour financer 200 mégawatts de projet solaire en France, en grande toiture, en grande ombrière, en centrale au sol, en construction.

Comment êtes-vous organisé pour adresser ces différents marchés ?

P.d.F. : Regardez l’organigramme du groupe CVE. Nous avons des business-units ou des sociétés opérationnelles, le solaire, l’hydrogène, puis les pays. Chaque fois que nous portons un projet, nous créons une société ad hoc avec de la dette bancaire, de la dette mezzanine et du financement participatif.

Dans le gaz nous avons filialisé l’activité avec trois niveaux de dette et nous avons ouvert le capital à Swen, puis à BNP Paribas.

Unité de méthanisation CVE © CVE

Comment avez-vous fait évoluer la structure capitalistique du groupe ?

P.d.F. : Pour financer notre développement corporate, nous avons démarré à trois avec 150 000 €. Il fallait embaucher des ingénieurs, des responsables de chantier pour nos cinq métiers et le temps de développement d’un projet solaire en France, est de quatre à cinq ans. Le temps de développement d’un projet biogaz, dure cinq à six ans avant qu’on ait un revenu tiré de l’énergie. Dans ce laps de temps, il faut rémunérer les équipes. Nous sommes dans un métier d’infrastructure nous avons besoin de cash.

Nous avons donc ouvert le capital, en 2020, à un fonds d’investissement, ICG (basé à Londres, ndlr) qui a investi 100 millions d’euros en 2020 et 100 millions en 2023 en fonds propres et quasi-fonds propres via son activité d’investissement dans les infrastructures.

L’horizon de liquidité d’ICG, qui est un fonds fermé, est entre 2027 et 2029. Notre intention est de poursuivre le projet avec un nouveau fonds qui viendra après sur une durée longue.

Pierre de Froidefond (CVE) : Mon produit, c’est un électron vert !

Le solaire n’est-il pas devenu, chez CVE, d’abord une activité financière ?

P.d.F. : Je m’inscris en faux par rapport cette affirmation. La finance est une de nos cinq activités, mais notre métier de base, c’est de produire de l’énergie. Il faut construire des actifs et les financer. Donc oui, nous avons besoin d’argent. C’est un métier, mais mon produit fini, ce n’est pas un TRI pour un investisseur. Mon produit, c’est un électron vert !

De gauche à droite : Hervé Lucas, Pierre de Froidefond , Arnaud Réal del Sarte – CVE Group – Marseille : “Nous avons démarré avec 150 000 €”

Le financement est une ressource nécessaire pour développer notre business model, mais notre modèle, c’est de produire de l’énergie renouvelable pour accompagner la décarbonation des entreprises, des collectivités, du monde agricole.

Avec la remontée des taux, avec l’argent un peu plus cher et un peu plus aléatoire, le recours massif au crédit n’entame-t-il pas votre rentabilité ?

P.d.F. : Si l’on regarde le « LCOE » acronyme de « Levelized cost of energy », soit en français le « coût actualisé de l’énergie » (correspond, pour une installation de production d’énergie donnée, à la somme des coûts de production d’énergie divisée par la quantité d’énergie produite, ndlr ) le coût de l’électron ou du mégawattheure qui sort d’une de nos centrales, nous avons trois éléments. D’abord les capex, les dépenses d’investissement, les modules, les onduleurs, les structures en métal qui supportent les panneaux, le génie civil, le raccordement. Deuxième paramètre, le coût du financement. Et le troisième est le prix de l’énergie. Il y a un phénomène de marché, qui est presque autorégulatoire : quand les taux augmentent, quand le prix des modules augmente, le prix du mégawattheure augmente, ce qui se traduit dans les appels d’offres de la CRE ou les contrats de vente de prix agréés. Ces mécanismes font ressortir un prix moyen de l’énergie. Quand les banques centrales augmentent leurs taux, ça augmente le coût du mégawattheure.

Votre modèle n’est pas impacté par une hausse des taux…

P.d.F. : Le modèle est régulé par un mécanisme de marché, le mégawattheure s’adapte à une hausse éventuelle.

Installation solaire CVE © CVE

L’approvisionnement en modules photovoltaïques et onduleurs vient majoritairement de Chine. Cette dépendance n’est-elle pas une fragilité pour un producteur d’énergie verte comme CVE ?

P.d.F. : Nous aimerions acheter nos modules en France. Nous avons besoin de produire les onduleurs en Europe. Nous avons besoin d’une chaîne de fabrication de modules en France. Quand on voit les bouleversements politiques mondiaux, si nous voulons être souverains sur notre chaîne d’approvisionnement, il faut fabriquer nos propres modules. Avec la multipolarisation du monde, les alliances qui se font se défont à la toute allure, l’arrivée de Trump, meilleur ami de Poutine, engagé une guerre commerciale avec la Chine, l’indépendance de l’Europe est vitale. S’il y avait un conflit avec la Chine, Pékin pourrait fermer les approvisionnements en modules solaires. Si nous n’avons pas notre propre chaîne de fabrication en France, l’énergie solaire ne pourra plus se développer.

Les deux initiatives Carbon et Holosolis sont légitimes Nous avons besoin de construire des gigas factory en France. Les projets sont avancés, il faut absolument que les financements suivent avec des investisseurs privés, mais il faut aussi que l’État fasse sa part. Nous soutenons le projet Carbon, je connais très bien Pierre-Emmanuel Martin, c’est un producteur d’énergies renouvelables, basé à Lyon. Il s’est bien entouré avec un bon background. Nous avons même investi de façon symbolique avec une quinzaine de producteurs indépendants.

Lien utile :
L’actualité de CVE dans les archives de Gomet’


(1) Le calepinage photovoltaïque consiste à étudier la faisabilité d’un projet solaire en déterminant le nombre, l’orientation, l’inclinaison et la disposition des panneaux solaires afin qu’ils génèrent un maximum d’électricité le plus longtemps possible. (Selon Ensol) 

En savoir plus : CVEPierre de Froiddefond
Christian Apothéloz

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