Tony Parker, Fred Bousquet et Nicole Ferroni accompagnent la flamme au Pharo

C’était l’un des lieux de passage emblématique de la flamme olympique, jeudi 9 mai : après Notre-Dame et la Caisse d’Epargne, celle-ci a poursuivi son périple du Parc Borély au parc du Pharo, en passant par la Corniche.

La flamme olympique de passage à la Fausse-Monnaie sur la Corniche Marseillaise (Crédit JYD/Gomet’)

Un nouveau relais a eu lieu un peu avant 11h devant les grilles du parc, à quelques encablures du Cercle des nageurs, où c’est justement le nageur Frédéric Bousquet qui a repris le flambeau, arrivé du parc Borély, à l’ancien nageur Michel Pedroletti. La flamme a ensuite entamé son ascension vers le Pharo, laissant le public présent boulevard Charles Livon (7e) devant les grilles, bloqué par une armada de gendarmes. Les journalistes présents parviennent avec peine à se faufiler dans le parc pour suivre le flambeau.

[Coulisses] @tonyparker raconte comment il a loupé son discours avec @Thom_astro hier pour l'arrivée de la flamme …#JO2024 pic.twitter.com/jtXmx1VKNb
— Gomet' (@Gometmedia) May 9, 2024

Dans l’enceinte du parc, d’autres figures sportives sont au rendez-vous, à commencer par le célèbre basketteur Tony Parker, qui portait la flamme sur la Corniche quelques minutes plus tôt. Il était à l’heure pour le relais, malgré son retard la veille, pour la cérémonie d’ouverture (voir la vidéo ci-dessus) : « Sept heures au lieu de trois pour faire le trajet Lyon-Marseille, je m’en souviendrai ! J’aurais dû faire le speech avec Thomas Pesquet sur scène mais je n’ai malheureusement pas pu arriver à temps … » relate la légende du basket, décontractée malgré tout derrière ses lunettes noires. Ce dernier prend ensuite la pose devant les marches du palais avec d’autres relayeurs de la flamme, l’autre basketteur relayeur Nando de Colo et le maire de Marseille Benoît Payan.

Crédit JRG / Gomet' — Crédit JRG / Gomet’

Le saviez-vous ?

Il peut arriver que la torche olympique s’éteigne. C’est pourquoi ce sont en réalité plusieurs flammes qui sont allumées à Olympie, en Grèce, et conservées dans des lanternes hermétiques, afin de pouvoir rallumer la flamme si nécessaire. Ces mini-flammes sont protégées par des « gardiens de la flamme » tout au long de leur parcours.

La flamme est restée environ 30 minutes dans le palais construit par Napoléon III en 1858. Le temps pour le second cortège de la flamme, au Nord de Marseille à Foresta (16e) d’achever son parcours – car il n’y avait pas une mais deux flammes olympiques à Marseille. Vers 11h35, le flambeau est passé dans les mains de l’humoriste aubagnaise Nicole Ferroni, qui a dévalé la pente du parc en courant. Vers la prochaine étape, à la cité scolaire internationale en passant par le Vieux-Port et la Major…