Le désormais candidat au soutien de LREM en appelle au monde économique « qui doit co-construire la ville de demain » et salue « les associations ciment des liens et de la paix sociale à Marseille, il faut accompagner les associations par des services publics municipaux, qui aident plus qu’ils ne ralentissent leurs actions quotidiennes ».
« Une recomposition politique, dont je serai le garant »
Celui qui veut « réconcilier les Marseillais avec Marseille » a pris conscience de l’urgence de s’investir pour apporter une réponse aux défis la sécurité. Avec une politique de fermeté contre la criminalité organisée, partagée avec l’État, il veut une « politique de la tolérance zéro des incivilités et de l’insalubrité, pour les déchets, les dégradations de l’espace publics, les infractions répétées à des règles de circulation et de stationnement. De la détérioration de l’espace public naît le désintérêt, l’irrespect et le ressenti de l’absence de règles. »
Sécurité, propreté, lutte contre les incivilités, amélioration du réseau de transport, logement, mise à niveau du patrimoine scolaire, protection de l’environnement et du littoral : le candidat au soutien LREM a en main les grandes lignes de son programme. « Mon ambition, conclut-il, n’est pas de poser une candidature de plus, je souhaite être l’artisan d’un mouvement de renouveau puissant, pour redonner liberté et fierté aux Marseillais. Ce mouvement de rupture s’appuie sur une recomposition politique, dont je serai le garant. »
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L’actualité de Jean-Philipe Agresti dans les archives de Gomet’