Bruno Gilles dévoile son plan pour les écoles
Dans le cadre d’une conférence de presse organisée lundi 20 janvier, c’est Robert Ciampi, proviseur du Lycée Nelson Mandela (12e arrondissement de Marseille) et soutien de Bruno Gilles, candidat DVD à la Mairie de Marseille, qui a dévoilé le volet éducatif du programme de ce dernier. Dénonçant le PPP des écoles voulu par Jean-Claude Gaudin, M.Ciampi affirme pouvoir « régler définitivement le problème des écoles à Marseille », selon des propos relayés par La Provence. Parmi les propositions du candidat Gilles : des « états généraux des écoles marseillaises », une réforme des cantines (plus de bio, plus de tri sélectif, favoriser les circuits courts, etc.) ou encore la création d’espaces numériques dans les écoles.
Le conseiller régional Ludovic Perney (LR) au soutien de Bruno Gilles ?
Le conseiller régional LR délégué à la jeunesse Ludovic Perney (24 ans) sur le point de rejoindre les listes de Bruno Gilles ? Le responsable des Jeunes républicains dans les Bouches-du-Rhône, qui a lancé en décembre dernier le think tank Marseille Avenir, devrait effectuer très prochainement une visite de quartier avec le candidat à la mairie de Marseille. Le ralliement de cette valeur montante de la droite locale à Bruno Gilles serait un caillou dans le jardin de Martine Vassal, la candidate officielle du parti Les Républicains.
Participation à la majorité présidentielle ? Le Modem met les points sur les “i”
Via un communiqué de presse diffusé le vendredi 17 janvier, Miloud Boualem, président département du Modem, a tenu à éclaircir la position de son mouvement vis-à-vis de LREM dans les Bouches-du-Rhône. Il confirme tout d’abord que « le Modem participe à la majorité présidentielle », avant de nuancer : « cette participation n’est pas un blanc seing, le Modem reste toujours vigilant et exigeant. De plus cet engagement national n’a pas de traduction locale automatique, notamment à Marseille. L’important pour le Modem est de pouvoir conduire des actions concrètes au service de la vie au quotidienne des marseillais en restant fidèle à ses valeurs ».
Jean-Marc Borello continue à prendre une part active dans la campagne LREM
Après être apparu sur le devant de la scène fin 2019 dans un rôle de chargé de mission spécial de l’Elysée pour l’émergence d’une liste LREM à Marseille, Jean-Marc Borello, président du groupe SOS, n’en a pas terminé avec la campagne municipale. Il était en effet aux côtés des candidats au local de campagne samedi 18 janvier pour le lancement des opérations d’affichage et de tractage avec les animateurs de comités en Marche. Outre le storytelling d’En Marche sur la victoire, il annonce une surprise du coté de Saïd Ahamada. De son côté, William Massari-Elman, directeur de compagne, souhaite des initiatives décapantes, disruptives, qui font le buzz. Le programme ne sera déroulé que par étape en février, le premier jalon consistant à développer la notoriété d’Yvon Berland en tant que candidat.
Anne-Laurence Petel a signé la Charte de l’élu local
Lundi 21 janvier, c’est dans son QG de campagne qu’Anne-Laurence Petel, députée LREM des Bouches-du-Rhône et candidate investie par le mouvement présidentiel à Aix-en-Provence, a signé la Charte de l’élu local, de même que tous ses colistiers. « L’objet de ce document participe à renouer la confiance entre les citoyens et la politique, à éviter la consanguinité en politique » a-t-elle notamment déclaré à La Provence. Cette charte prévoit notamment l’interdiction d’emplois familiaux, de conflits d’intérêts, de favoritisme ou encore le respect de la laïcité.
Ségolène Royal pour une journée de soutien à Samia Ghali
Samia Ghali, candidate ex-PS à la Mairie de Marseille, pourra compter sur un soutien de poids jeudi 23 janvier. En effet, Ségolène Royal, ex-ministre, ex-candidate PS à l’élection présidentielle et ex-présidente de la Région Poitou-Charentes, sera en visite officielle à partir de 13h30 dans la cité phocéenne pour appuyer la candidature de l’actuelle maire des 15e et 16e arrondissements. Au programme : un temps d’échange avec la presse, une visite de la décharge Véolia de Septèmes-les-Vallons, un déplacement sur le site du Boulevard Urbain Sud, et une rencontre participative sur le thème de la santé environnementale.
Le Printemps marseillais se proclame première force de gauche
Le dernier sondage commandé par France Info, France Bleu Provence et La Provence, et publié vendredi 17 janvier, semble donner des ailes au Printemps Marseillais, une coalition de partis de gauche (PCF, LFI, PS) et de collectifs citoyens emmenée par l’ex-EELV Michèle Rubirola. En effet, cette formation y est créditée de 16 % des intentions de vote, contre 14 % pour la liste écologiste soutenue par EELV emmenée par Sébastien Barles. Dans un communiqué publié le vendredi 17 janvier, le Printemps Marseillais déclare que : « ce sondage démontre la dynamique prise par notre rassemblement en le plaçant en tête des forces progressistes pour les municipales de Marseille ». Le mouvement en profite pour rappeler « la nécessité d’union de toutes les forces progressistes pour porter l’espoir du changement et battre la droite et l’extrême droite ».
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