Quinze jours après le domicile de Bruno Gilles, c’est le Centre municipal d’animation Beausoleil, dans le 4e arrondissement de Marseille, qui a fait l’objet de tags d’intimidation à l’endroit du candidat LR à la mairie de la ville. Via le réseau social Twitter, M. Gilles a fait connaître dimanche 20 octobre son intention de déposer plainte contre ce qu’il qualifie de « tags d’intimidation ».
Après mon domicile, c’est un Centre Municipal d’Animation des 4ème / 5ème de #Marseille qui fait l’objet de tags d’intimidation…
Dès demain en tant que candidat aux élections #Municipales2020 et Sénateur je déposerai plainte auprès du Procureur de la République. #BG2020 pic.twitter.com/AXmxY9dP4D— Bruno Gilles (@brunogilles13) October 20, 2019
Sur une photo publiée par l’élu LR, il est écrit sur la façade de l’édifice « on veut Martine Vassal », référence à l’autre candidate LR dans la course à la Mairie de Marseille, suite à un premier graffiti disant « on ne [veut] plus Bruno Gilles », faisant également référence à la Corse. « Mes amis corses et ma famille corse n’ont rien à voir avec ces actes lamentables » a déclaré sur ce point Bruno Gilles via Facebook.
La réaction de Martine Vassal n’a pas tardé à arriver. « Par ces actes scandaleux, certains cherchent à organiser une montée des tensions. J’appelle chacun à ne pas tomber dans ces pièges qui nous sont tendus » a-t-elle écrit lundi 21 octobre sur Twitter, affirmant soutenir la plainte de Bruno Gilles. « Je fais confiance aux enquêteurs pour que le/les auteurs soient appréhendés et punis » a-t-elle ajouté.
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