A l’issue du concours « Ma thèse en 180 secondes », qui s’est tenu jeudi 10 juin, un étudiant d’Aix-Marseille Provence Méditerranée, Peter Stephen Assaghle, se positionne à la troisième place du classement parmi les 16 doctorants en finale. Chercheur au sein du Centre d’études et de recherche sur les contentieux (Université de Toulon), sa thèse porte sur la « Vulnérabilité des femmes et violences dans la région des Grands Lacs africains : cas des femmes du Grand Kivu ». Il avait remporté le 18 mars dernier la pré-finale régionale de « Ma thèse en 180 secondes » organisée par Aix-Marseille Provence Méditerranée
Aix-Marseille Provence Méditerranée est une association créé par décret du 23 février 2016 qui regroupe Aix-Marseille Université (cheffe de file), l’Université d’Avignon, l’Université de Toulon, l’Ecole centrale de Marseille et l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence. L’objectif de cette association est de créer une université d’excellence reconnue à l’international.
La finale du concours « Ma thèse en 180 secondes » en replay
Créé en 2014 et organisé par le CNRS et la Conférence des présidents d’université (CPU), le concours « Ma thèse en 180 secondes » permet aux doctorants de présenter leur sujet de recherche en moins de trois minutes devant un auditoire profane, au travers d’un exposé simple, clair et concis, à l’aide d’une seule diapositive. Cela leur offre ainsi la possibilité de perfectionner leurs aptitudes oratoires et de donner de la visibilité à leurs travaux.
C’est Paul Dequidt, doctorant à l’Université Confédérale Léonard de Vinci au laboratoire XLIM (Université Poitiers/CNRS/Université de Limoges), qui remporte la première place de cette édition 2021 grâce à sa présentation de ses travaux sur l’« Analyse de données RMN multimodales par intelligence artificielle pour la discrimination binaire du grade du gliome». Il remporte également le Prix des internautes et représentera la France lors de la finale internationale.
Le deuxième prix du jury revient à Louise Fliedel de l’Alliance Sorbonne Paris Cité à l’Unité de technologies chimiques et biologiques pour la santé (Université de Paris/CNRS/Inserm) qui a présenté sa thèse « Conception, caractérisation de nanovecteurs et évaluation de leur interaction avec la barrière placentaire ».
Exceptionnellement cette année, en raison du contexte sanitaire, le concours a été diffusé en live sur Facebook (à revoir ci-dessous).
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