L’effondrement de la rue d’Aubagne a été un révélateur, « mais nous continuons à prendre le problème à l’envers. On ravale 3 000 façades avec de l’argent public (financement du plan centre-ville confié à la Soleam qui couvre 50% de la facture) mais on ne s’est pas assuré que les immeubles repeints sont structurellement solides » dénonce la…
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