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La décarbonation de l’industrie, entre trajectoires ambitieuses et investissements concrets 

par La rédaction
18 décembre 2024 at 10h30 (Updated on 20 décembre 2024 at 07h31)
La vision systémique d'Engie présentée par Ludovic Parisot (Crédit Gomet')

La vision systémique d'Engie présentée par Ludovic Parisot (Crédit Gomet')

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Ce 12 décembre à Martigues, ENGIE a organisé une rencontre autour de la décarbonation de l’industrie. François Gemenne, auteur principal du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), a détaillé ce que nous réserve le réchauffement climatique avant que les intervenants évoquent les pistes et projets à l’étude ou mis en œuvre dans les usines. 

Peut-il y avoir une décarbonation heureuse de l’industrie ? La question peut sembler paradoxale. Si les émissions de CO2 des usines venaient à diminuer autour de l’étang de Berre et du golfe de Fos, où elles pèsent 18 millions de tonnes, soit 20% du total national, la qualité de l’air et le cadre de vie devraient s’améliorer, les populations mieux respirer et l’atmosphère, comme l’avenir, s’éclaircir sur la zone industrialo-portuaire, le pôle pétrochimique de Berre ou celui de Lavera. 

Pourtant, cette décarbonation reste perçue comme une montagne de contraintes et de restrictions réglementaires, d’investissements lourds, d’incertitudes techniques et financières… Les objectifs affichés à 2030, puis 2050 pour la neutralité carbone paraissent souvent inaccessibles, tant ils exigent de changements profonds de pratiques. Soucieux de poser le débat avec hauteur et équilibre pour montrer les efforts accomplis et les engagements (immenses) encore à prendre, ENGIE a mis sur pied avec ses partenaires (1) une rencontre à Martigues, à la Villa Khariessa, le 12 décembre. Plusieurs témoins engagés, publics et privés ont pris la parole, laissant entrevoir une perspective plus nette (et optimiste) des actions et réalisations à l’œuvre. La décarbonation industrielle a bien commencé. 

Des malentendus sur le réchauffement climatique

Pour François Gemenne, auteur principal du 6e rapport du GIEC, le réchauffement climatique n’a pas fini de nous préoccuper. Son intervention maîtrisée, complétée par des graphiques édifiants, s’emploie d’abord à lever les malentendus sur le phénomène. Pour lui, ce changement climatique ne constitue pas une crise passagère, mais un mouvement durable, les records de températures seront régulièrement battus… « Il n’y aura pas de retour à la normale, parce que la normale est derrière nous » dit-il, en regrettant : « nous ne prenons pas la mesure de cette réalité ». 

François Gemenne à la Villa Khariessa à Martigues le 12 décembre 2024 (Crédit Gomet')
François Gemenne à la Villa Khariessa à Martigues le 12 décembre 2024 (Crédit Gomet’)

Il fustige le relativisme des sceptiques qui répandent l’idée que si la France agit pendant que le reste du monde pollue sans compter, rien ne changera. « Chaque tonne envoyée en moins dans l’atmosphère fera une différence » rétorque-t-il. Enfin, le scientifique réclame une persistance de l’effort dans le temps. « La neutralité carbone à 2050, c’est dans 26 ans. Nous allons donc continuer à décarboner l’économie sans voir les températures et les concentrations baisser. Or, on a besoin de résultats concrets pour juger les effets des actions. Comme nous sommes dépendants les uns des autres, c’est très compliqué ». Sans compter que, de son point de vue, personne ne paraît cerner l’intérêt individuel à tirer de son implication, même si ses valeurs l’amènent à le croire indispensable pour sauver la planète. « Communiquer sur les bénéfices plutôt que sur les menaces est donc fondamental » indique-t-il. Et d’exposer trois leviers pour les éclairer. 

Des leviers positifs à activer

  • Le premier consiste à définir la trajectoire qui aidera à atteindre les objectifs, en se dotant de « balises intermédiaires » pour réajuster le chemin, constater les progrès et contourner les risques de démotivation et de découragement.
  • Le deuxième invite à se convaincre que l’action d’une minorité emportera l’adhésion au final de la majorité, au vu des améliorations engrangées. « L’histoire montre que chaque innovation industrielle, chaque brevet, chaque modification de process a un effet et en inspire d’autres dès lors qu’on le fait savoir » assure-t-il.
  • Le troisième réside dans le projet porté en donnant à visualiser un monde décarboné… « Nous avons besoin de toucher du doigt la décarbonation et de montrer pourquoi il en va de l’intérêt collectif ». Pour lui, les pouvoirs publics ont un rôle à jouer pour encourager les industriels qui investissent en vue de devenir plus exemplaires. Il cite la mise en œuvre de la taxe carbone ou l’abaissement des taux directeurs financiers quand le financement de projets concerne leur décarbonation… 

En Provence, une évolution favorable s’esquisse. Maxime Develay-Morice, ingénieur décarbonation de l’Ademe (Agence de la transition écologique ) et Martial François, directeur de projet décarbonation de l’industrie de la Dreal (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement), sont prêts à aider les industriels à concevoir leurs dossiers au mieux « en amont et jusqu’au dernier kilomètre du projet » afin de s’affranchir des risques de retard ou de blocage, accélérer les délais des procédures et aboutir plus rapidement sur la décarbonation. 

Plus de 130 participants étaient présents pour les premiers Défis de la décarbonation industrielle
Plus de 130 participants étaient présents pour les premiers Défis de la décarbonation industrielle en région Sud organisés par ENGIE à Martigues le 12 décembre 2024 (Crédit Gomet’)

Une task-force de leurs administrations avec de la Dreets (direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités) a été constituée. Les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), autour de l’étang de Berre, avoisinent 6 millions de tonnes. Martial François évoque « la responsabilité collective à travailler sur les leviers ». La coopération entre l’Etat et les industriels peut aller jusqu’à l’estimation des montants de subventions nécessaires en soutien de l’investissement privé, confie Maxime Develay-Morice. 

Des “trajectoires” pour savoir à quoi s’en tenir

Le territoire en témoigne déjà, à travers l’association Piicto (plateforme industrielle et d’innovation du Caban-Tonkin) qui réunit industriels et institutionnels sur la future « zone industrielle bas carbone » (Zibac). Grâce au programme d’études Syrius, co-financé par l’Ademe et les entreprises impliquées, des « trajectoires » ont été tracées, de la plus pessimiste, avec des fermetures d’usines, à la plus ambitieuse, avec leurs conséquences en termes d’emplois comme d’émissions. « Il n’y aura pas qu’un seul levier, tous devront être activés en même temps. La décarbonation fera chuter tous les polluants » énonce Nicolas Mat, secrétaire général de Piicto, convaincu que l’argument peut emporter « la désirabilité » des populations riveraines plus encore que la simple « acceptabilité » des projets. 


Directeur des régions Sud, Corse et Principauté de Monaco d’ENGIE, Ludovic Parisot détaille la diversité des ambitions du groupe et de ses entités (Elengy, GRT Gaz…), tant sur la transformation d’installations que sur les réseaux de distribution (hydrogène, géométhane, CO2, ammoniac…), pour anticiper les mutations à conduire. « ENGIE, grâce à ses métiers historiques, a la capacité à travailler sur l’ensemble des besoins énergétiques des industriels » rappelle-t-il, en projetant une carte des infrastructures en projet. 

Décarboner dans une concurrence loyale

Si nombre d’interrogations perdure sur les choix technologiques et modalités de décarbonation ou l’ampleur des investissements qui contribueront à se rapprocher des objectifs fixés, les représentants des usines du bassin Fos-Berre soulignent combien la limitation de leurs rejets ne relève pas d’une implication récente. « La chimie a réduit de 70% ses émissions de carbone entre 1990 et 2023, c’est une des filières qui décarbone le mieux » affirme Stéphane Bergamini, délégué général de France Chimie Méditerranée. Il cite les mutations de Kem One à Fos, d’Arkema à Marseille et les contrats de transition écologique signés avec l’Etat qui font entrer la décarbonation dans « des réalités concrètes ». Il réclame néanmoins une meilleure visibilité et une réciprocité sur les règles et aides applicables pour les inscrire dans la pérennité. Et alerte : « Si demain, les produits décarbonés ne se vendent pas, tout le monde sera perdant. En Europe, ça devient difficile ». 


Directeur de la cimenterie Lafarge de la Malle, à Bouc-Bel-Air et de la Phocéenne de broyage, Pascal Baudoin précise les investissements en cours sur la fabrication des ciments pour améliorer leur impact carbone. « Nous avons accéléré sur la substitution de matières naturelles par des matières issues de l’économie circulaire. L’an dernier, c’était 5%, nous sommes à 16% en 2024 et nous serons à 20% en 2025 ». L’autre axe d’action concerne l’innovation, avec des premiers tests sur du clinker (constituant du ciment) produit par un appel à l’hydrogène en remplacement du combustible fossile. « Un million d’euros a été investi pour cet essai mené avec Air Liquide et Fives Pillard » estime-t-il. 

Défis de la décarbonation
Les industriels ont la parole lors des Défis de la décarbonation industrielle en région Sud (Crédit Gomet’)

Mais si le ciment produit est de qualité, les coûts restent à optimiser pour généraliser le procédé. Lui aussi revendique « une concurrence loyale » auprès de l’Europe afin d’éviter l’entrée de produits moins chers, fabriqués avec des exigences écologiques bien moins rigoureuses. 

Au nom de LyondellBasell, dont il est le responsable du développement « Net zéro », Pierre Fauvarque mesure la marche de décarbonation à franchir pour les sites de Berre et de Fos : le premier « lâche » un million de tonnes par an dans l’atmosphère, le second 300 000 tonnes. Une partie du parcours jusqu’en 2030 s’opèrera avec « sept projets pour plus de 400 millions d’euros d’investissement, en récupération de chaleur, en efficacité énergétique ». 

Au-delà, les montants seront encore plus importants puisqu’ils impliqueront des modifications de procédés, notamment pour passer à de l’électrification ou pour valoriser des matières très carbonées utilisées pour faire tourner des unités. « Des technologies existent, mais sont très onéreuses à implanter, d’autres sont des variantes pas encore opérationnelles à grande échelle » explique-t-il, laissant entendre que même des aides de l’Etat ne compenseront pas les coûts de ces transformations. 

Des réseaux pour anticiper les besoins 

Les dépenses seront lourdes, mais moindres pour SPSE (Société du pipeline sud européen), s’il fallait « recycler » ses 1 800 km de réseaux de pipelines d’hydrocarbures liquides déjà déployés en France et en Europe pour le transport d’hydrogène ou de CO2. L’objectif est d’utiliser cette infrastructure moyennant un refit conséquent pour transporter du CO2. « Réutiliser un actif disponible coûte 80% de moins que la construction d’un pipeline neuf » plaide Pierre Schmider, responsable du développement. 

A 2030, il estime la capacité de transport de CO2 à quatre millions de tonnes entre Lyon et Fos. Un autre usage de ces canalisations, partiellement libérées par la fermeture de dix des douze raffineries qu’elles alimentaient dans la vallée du Rhône, pourrait être affecté à des carburants de synthèse. « Le projet Rhône CO2 est une infrastructure complète de la capture de CO2, à la liquéfaction jusqu’à l’approvisionnement des sites qui veulent faire des carburants de synthèse » complète-il, dévoilant l’intérêt de certains industriels émetteurs ou utilisateurs (PetroIneos H2V, Fibre Excellence, Lafarge…).


Elengy serait associé au projet pour adapter son terminal de Fos-Tonkin. La décision d’investissement devrait être prise en 2027 pour un démarrage en 2030 et une capacité de capture du CO2 de 2,7 millions de tonnes à 2035. Directrice projets hydrogène d’ENGIE, Diane Defrenne souligne que « l’électrification est le 1er axe de décarbonation des industries », mais qu’elle ne suffira pas « car il y aura toujours du CO2 résiduel ». 

Diane Defrenne (Crédit JYD/Gomet’)

Selon elle, les industriels pourront opter dans l’adaptation de leurs process pour de la capture, de la valorisation et de l’utilisation de CO2 (CCUS), d’autres pour des solutions d’hydrogène. « Avec un projet comme HyGreen d’une capacité de 30 000 tonnes de production d’hydrogène renouvelable par an, on peut décarboner jusqu’à 500 000 tonnes de productions industrielles » glisse-t-elle, ajoutant que l’H2, en étant stocké, peut garantir une meilleure flexibilité sur le réseau électrique. Elle aussi parle d’investissements « énormes » et de l’obligation de parvenir à un coût attractif de l’hydrogène. « Il faut travailler ensemble et ne pas s’attendre les uns les autres. L’industrie fait des efforts, il faut les montrer et voir comment, collectivement, on peut s’employer à réduire les risques sur la compétitivité ». 

Un objectif que ne démentira pas Ludovic Parisot qui se félicite, en conclusion de la matinée, des échanges concrets et de la volonté des acteurs réunis à Martigues de partager leurs expériences et projets : « il y a ici une volonté commune d’avancer ensemble. »

Jean-Christophe Barla


Ludovic Parisot et Diane Defrenne interviendront lors du
2e forum « Nos énergies en question(s) » organisé par Gomet’ le 8 janvier 2025

Lien utile :
Les défis de la décarbonation : les industriels en pleine révolution

Défis de la décarbonation
Vue de l’étang de Berre depuis la Villa Khariessa à Martigues (Crédit Gomet’)
La rédaction

La rédaction

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